Impressum:

 

Amélie de Maupeou

Mail: amaupeou@gmail.com

 

 

V I T A E

 

P R O F E S S I O N A L     E X P E R I E N C E

Since 2009: freelance editor and translator.

2002-2014: book-readings in German, French, English and Italian for French Publishing Houses.

2008-2009: Éditions Belfond: Publisher for foreign literature.

July 2008: Éditions Anabet: Rewriting of the bestseller of Charlotte Roche, Feuchtgebiete.

2007- 2008: Éditions L'Esprit des Péninsules: Editor. 

2008: acquired the bestseller The Wave by Todd Strasser / Morton Rhue for the French market.

2006: art publisher Citadelles & Mazenod: PR, Foreign rights.

2002 – 2005: Plon & Perrin: PR, book-readings.

1999 – 2001: Artaujourdhui.com, Art-Magazine in Paris: journalist.

1999 – 2001: internet-Startup dooyoo.com in Berlin: online-redactor.

1996-1998: Internships: Musée d’Orsay, Ministère de la Culture Paris, Gemäldegalerie Berlin.

 

Memberships: ATLF - Association des Traducteurs Littéraires de France.

Publishing Houses I work with: Plon, Le Seuil, JCG, Belfond, Grasset, Anabet, Presses de la Cité, Stock, Charleston, Albin Michel, Kero, etc.

 

E D U C A T I O N

2000:      DESS (advanced graduate diploma) in Culture- and Mediamanagement, IKM Berlin.

1997:      Graduate degree in History of Arts, Paris-X Nanterre.

1992:      Literary Baccalauréat (equiv. A-level). 

1991:      Deutsches Sprachdiplom, Lycée International, St Germain-en-Laye.

 

 SELECTED FOR THE PRIX JEAN-FRANCOIS CAILLÉ 

"La Société française des traducteurs (SFT) récompensera le 7 décembre Marianne Faurobert et son adaptation de l’italien de Seuls les innocents n’ont pas d’Alibi, de Giorgio Faletti (Robert Laffont). (...) Figuraient également sur la sélection : Black Mamba Boyde Nadifa Mohamed (Phébus), traduit de l’anglais par Françoise Pertat ; Monsieur Sapiro de Benny Barbash (Zulma), traduit de l’hébreu par Dominique Rotermund ;Le Syndrome de Fritz de Dmitri Bortnikov (Noir sur Blanc) traduit du russe par Julie Bouvard ; Les madones d’Echo Park de Brando Skyhorse (L’Olivier) traduit de l’anglais par Adèle Carasso ; et Ma sœur vit sur la cheminée d’Annabel Pitcher (Plon Jeunesse) traduit de l’anglais par Amélie de Maupeou. Créé en 1981 par la SFT en mémoire de son cofondateur Pierre-François Caillé, ce prix doté de 2 000 euros récompense alternativement la traduction d’une œuvre littéraire, ou scientifique."

Livres Hebdo, 4 décembre 2012

 

ABOUT: LE BEAU MONDE, HARRIET LANE 

"L'HEROINE DE HARRIET LANE EST UNE ARRIVISTE MALGRÉ ELLE" 

Le Figaro littéraire, Éric Neuhoff, publié le 03/12/2012 à 18:57 

"Méfiance. Il y a peut-être une Frances Thorpe au Figaro littéraire. [...] Pour son baptême en littérature, Harriet Lane se met dans la peau d'une arriviste [...] malgré elle. On n'arrive pas à la détester. On serait même catastrophé que ses plans échouent. Joli tour de force. L'auteur s'attarde avec malice sur l'ambiance des bureaux [...]. Avec cela, un don pour décrire les intérieurs, les rapports de couple, les croche-pieds du destin. C'est du Ruth Rendell croisé de All about Eve. «Le Beau Monde», de Harriet Lane, traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Amélie de Maupeou.

ABOUT: L'AMANT PUR, MEMOIRES DE DOULEUR, DAVID PLANTE 

"DAVID PLANTE ET SON AMANT PUR" - Christine Marcandier, MEDIAPART, 7 novembre 2013 

Philip Roth a qualifié l’œuvre de David Plante de « plainte dévastatrice et résolument intime », une phrase qui prend tout son sens avec L’Amant pur, sous-titré Mémoires de la douleur, hymne à l’homme aimé et perdu. [...]  

Dans L’Amant pur — paru en 2009 aux Etats-Unis, publié aujourd'hui en français dans la formidable collection "Feux Croisés"  —, c’est David et Nikos, 1965, une focale intime, resserrée sur le couple et la douleur de la perte. [...] « Tout sentiment et toute pensée, tout est absent en ton absence, alors pourquoi cette absence totale de pensée et de sentiment est-elle si puissamment une présence — la tienne ? » [...] L'amour, dès l'origine, est lié à l'écriture : Nikos travaille dans le monde du livre, il est le premier « à me prendre au sérieux en tant qu'écrivain », et cette déclaration sublime à l'epsilon de l'alphabet intime : « tu ne m'as jamais limité à ce que tu espérais de moi ». [...] Ces Mémoires de la douleur, capitales, sont d’une beauté infinie, celle de la présence « pure » que confèrent la mort et son envers absolu : la littérature. David Plante, L’Amant pur, Mémoires de la douleur, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Amélie de Maupeou.

 

 

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